vendredi 30 mai 2008

je suis amour je suis joie je suis attente

j'écoute Pinback, je suis mellow, je me demande un peu comment survivre jusqu'à dimanche (il est pas là).

ça revient vite, hein, le manque, le désir qui monte dans l'absence et les messages impatients...
même quand il fait chaud et lourd, même quand on a plein de plans pour le week-end, dont une kermesse blogo-musicale, des potes à voir et des milliards de rencards.


(si j'osais je dirais qu'un seul chauve vous manque et tout est dégarni)



et sinon

ça va.

on me reparle de léon (un peu). on me montre des photos même (enculée). ça me parait loin (bien sûr). je passe toujours à place de clichy (tous les jours). j'ai pas de nouvelles (j'en veux pas). je me demande juste comment ça sera quand on se recroisera (ou pas).

en attendant (pas vraiment) j'avance. j'ai vu MGMT (on dira que c'est cool), je frôle la gloire (demain) et je compte les heures sans lui, parce que celles-là comptent, oui.

je n'aime plus me réveiller toute seule (non, je n'aime plus me réveiller sans lui)

nuance.




mercredi 28 mai 2008

tempête de cerveau

voilà, bon iver au trabendo c'était bien, évidemment. mieux, même. mais je vais arrêter de me la péter les inrocks je chronique le rock toussa donc je me tais (mais je suis joie-c'était trop trop bien-ces chansons sont trop jolies pour de vrai-et cette voix putain cette voix)

mais


il FAUT faire un t shirt bon iver/la blogo

(et si possible pas QUE des tailles M de mecs, hein)

alors, on se creuse la tête un chouïa, avec Jean-Gé, et voilà le résultat:

"bon-iver-it-was(so)magical™"

ou

"admit it, deep down inside, you love Jon Bon Iver"

ou

"on vous souhaite un Jon Iver"

ou

"I'm happiness"


allez, lâchez vo koms!

(on contre-propose aussi si jamais on aime pas)


(les blagues sur Jon/Bon Iver, c'est rapport au papier dans libération, parce que le SR a corrigé, cru bien faire, et mis Jon iver dans le titre et la légende au lieu de Bon Iver- bouh les nuls ils confondent avec bon jovi ou quoi?)

mardi 27 mai 2008

ma soirée de poche à moi

c'était chouette aussi

c'était écouter en boucle l'album de bon iver en remplissant mes 10 mètres carrés de chambre/salon/pièce à vivre du plus grand nombre de cartons possible (j'ai compté, ouais je sais j'avais dit que j'arrêtais, bref j'ai compté 20 cartons de livres+ 15 de choses diverses et variées dont je ne sais que faire à part tout balancer, parce que si j'en ai pas eu besoin pendant 5 mois, pourquoi j'en aurais besoin maintenant?)

bon y'avait la jolie voix de justin, une bougie à la vanille suédoise et le sms de pixie, oui je sais il FAUT que je vienne à la prochaine.

merde j'aime pas être jalouse.


mais alors pas du tout.


heureusement je me rattrape ce soir

dimanche 25 mai 2008

I've got to let you know you're one of my kind

il voulait que j'arrête de compter. que je cesse mes additions et mes négations. j'ai stoppé (je suis gentille parfois).

depuis, c'est lui qui n'arrête plus. il compte, me parle de chiffres, du nombre de fois où.

et puis, il me balance comme ça, un samedi soir à 23h et des bananes (j'ai dit que j'arrêtais de compter, ça vaut aussi pour les horaires), ça fait un mois. un mois depuis la première fois. on (enfin lui surtout) ne compte plus en jours, on ne compte plus en semaines. on compte sur après.

on fait des plans.

on parle de futur.

on joue à la roulette russe.

pourtant, on pourra pas dire que j'ai pas tout fait pour le dégouter, hein. parce que parler d'épisio, menacer d'un mariage forcé, faire une compét de bricolage, et regarder cars deux fois et demie dans la même journée, fallait s'accrocher quand même, pour durer jusqu'à l'apéro du soir (espoir).


(ps: cette note est dédicacée à émilie.)






jeudi 22 mai 2008

sans déc, pixie

parce qu'il y en a, là, qui connaissent pas Shane....




(j'y crois pas)








c'est mieux, là?