quand on arrive, elle a déjà la main sur sa braguette. ils tournent à l'affligem, la seule bière qui m'ait jamais fait vomir (et sur le quai du métro), c'est dire si c'est mauvais signe.
lui, gros cul ptite bite, hésite mollement à lui tâter le cul, qu'elle a de fort appétissant d'ailleurs. elle a soigné son look, sa jupe et ses bottes, mais pas vraiment son maquillage, elle devait pas avoir envie qu'il la prenne pour une pute. autour d'eux on prend les paris, coucheront, coucheront pas?
le résumé des épisodes précédents: c'est l'ex de son meilleur pote, il a des scrupules, elle a juste envie qu'on lui tire les cheveux ce soir.
premier diagnostique: c'est mort. il est déjà minuit, il est déjà cuit, elle a les yeux mi-ouverts, moins que ses jambes, mais pas assez pour assurer quand ils rentreront ensemble. ils devraient déjà être dans le taxi, elle devrait déjà avoir la main dans son slip, il devrait arrêter de vouloir être réglo avec elle.
en live, direct from the bar, on l'entend dire (lui): on couchera pas ensemble ce soir. jolie tactique, mais son aveu ressemble trop à la vérité. pas ce soir, ouais. elle se lève, descend aux chiottes, sans voir qu'elle traîne accrochés à sa botte 3 mètres d'écharpe noire en grosse maille et la plupart des espoirs des mecs présents ce soir.
pathétiques et en plein débandage, ils finiront d'animer notre soirée vers 1h30, et tous les paris les plus fous s'envoleront dans leurs pelles trop mouillées, leurs ultimes titubations au milieu de la salle, et un dernier shot de vodka pure.
c'était pourtant la boisson des princes de la baise bourrée.
(je suis déception)
2 commentaires:
ils sont malheureusement trop nombreux, les couples de la loose. Mesdames et messieurs, sous vos applaudissements...
Et hop !
Tomber de rideau.
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