pixie m'a (re)donné envie de raconter samedi, parce que au début je me disais que fallait pas que je tombe dans le blog retour de soirée j'ai vu machin c'était bien et j'ai parlé à truc et tout, et que je suis trop trop fatiguée pour poster en ce moment
mais bon, cette soirée, elle engendre du bon et du moins bon, alors je me sens obligée de lui rendre hommage, quand même (et puis je suis pas une groupie de la blogothèque pour rien, hein)
donc samedi on a raté essie jain, et ça c'était con (vraiment), mais bon, on a eu le "Je suis socialisme" de Minouche au macDo et aussi un cours de mon homeboy geek sur AB prod, et Anthony Dupray qui va à la cafét' avec son parachute parce qu'il vient de sauter, tu vois, anthony c'est un homme un vrai, un qui vient du havre, un fils caché de Alphonse Brown et de P. Dedieuleveut qui porte des futals en cuir très peu queer (comprends qui peut), et Sébastien dont personne se souvient parce qu'il a été cloné sur Vincent Perrot. ça partait pas mal dans le rire et la quote of the day.
puis, de retour au point fmr, y'avait plus de places pour monsieur pop et son ami, et ça me faisait un peu chier de le laisser là. alors j'ai fait 50/50 et c'était pas plus mal parce que y'avait beaucoup, beaucoup de monde à l'intérieur et pas mal de gobelets en plastique par terre (qui font du bruit sous les pieds des gens, c'est dingue ces trucs). j'ai fait ma blogopouffe avec pixie et ses bottes de moto, pas mal crâné sur le mode 'tu-savais-queje-suis-dans-la-blogparty-de-chronic'art-46-ouais-page 10-tu-vois?', discuté avec mon pote de la cuisine de Guy, dit du bien de ce qu'il fabrique avec des girafes en plastique (c'est fantastique) et fini par embarquer tout le monde (ou presque) vers là où il fait moins froid et où les mojitos sont à l'alcool.
et j'ai (toujours) pas rencontré sskizo
(encore raté)
(merde)
et sinon
ça faisait longtemps que j'avais pas passé une bonne journée goût shit comme ça. j'ai mal aux dents d'avoir crispé tendu ma mâchoire toute la journée, même sans m'en apercevoir, juste une fois arrivée dans le métro, waouh putain j'ai mal j'ai mal faut lâcher mais j'arrive pas. et ce soir je voulais dormir et j'y arrive pas non plus à lâcher comme ça
demain un post moins long moins chiant et un scan de chronic'art, promis juré craché.
mais bon, cette soirée, elle engendre du bon et du moins bon, alors je me sens obligée de lui rendre hommage, quand même (et puis je suis pas une groupie de la blogothèque pour rien, hein)
donc samedi on a raté essie jain, et ça c'était con (vraiment), mais bon, on a eu le "Je suis socialisme" de Minouche au macDo et aussi un cours de mon homeboy geek sur AB prod, et Anthony Dupray qui va à la cafét' avec son parachute parce qu'il vient de sauter, tu vois, anthony c'est un homme un vrai, un qui vient du havre, un fils caché de Alphonse Brown et de P. Dedieuleveut qui porte des futals en cuir très peu queer (comprends qui peut), et Sébastien dont personne se souvient parce qu'il a été cloné sur Vincent Perrot. ça partait pas mal dans le rire et la quote of the day.
puis, de retour au point fmr, y'avait plus de places pour monsieur pop et son ami, et ça me faisait un peu chier de le laisser là. alors j'ai fait 50/50 et c'était pas plus mal parce que y'avait beaucoup, beaucoup de monde à l'intérieur et pas mal de gobelets en plastique par terre (qui font du bruit sous les pieds des gens, c'est dingue ces trucs). j'ai fait ma blogopouffe avec pixie et ses bottes de moto, pas mal crâné sur le mode 'tu-savais-queje-suis-dans-la-blogparty-de-chronic'art-46-ouais-page 10-tu-vois?', discuté avec mon pote de la cuisine de Guy, dit du bien de ce qu'il fabrique avec des girafes en plastique (c'est fantastique) et fini par embarquer tout le monde (ou presque) vers là où il fait moins froid et où les mojitos sont à l'alcool.
et j'ai (toujours) pas rencontré sskizo
(encore raté)
(merde)
et sinon
ça faisait longtemps que j'avais pas passé une bonne journée goût shit comme ça. j'ai mal aux dents d'avoir crispé tendu ma mâchoire toute la journée, même sans m'en apercevoir, juste une fois arrivée dans le métro, waouh putain j'ai mal j'ai mal faut lâcher mais j'arrive pas. et ce soir je voulais dormir et j'y arrive pas non plus à lâcher comme ça
demain un post moins long moins chiant et un scan de chronic'art, promis juré craché.
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