d'abord, radiohead, c'était énorme (sisi c'est ce que disait le hurleur boulet derrière nous pendant tout le concert mardi, à peu près une fois toutes les 4 minutes, et oui c'est beaucoup). moi forcément j'ai (presque) rien vu de ce qui se passait sur scène, avec mon mètre-soixante-et-un (on ne se moque pas), sauf quand thom yorke jouait de la batterie à la fin et aussi quand il faisait l'intéressant avec sa petite caméra. du coup, j'ai regardé ceux qui étaient là, les miens, seulement, (pas le relou qui disait aux couples qui s'esquivaient 'ah ouais, ça donne envie de baiser c'te musique') et leurs visages à eux, les miens, ça valait tous les lightshows du monde. la tête de blondie et de mes homeboys, et de lui aussi, la bouche entr'ouverte, les yeux loin.
si si si c'était mieux que de voir jonny et le bassiste qui fait la gueule.
et puis,
les lumières comme ça, c'est comme si on étaient tous devenus synesthètes en même temps. un putain de miracle, arthur, j'te jure
1 commentaire:
ouais et alors Bat For Lashes dans bercy ça donne quoi??
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