on va dire ça
il me reste en fait plein d'images de Léon qui ne se raccrochent pas à un souvenir particulier. Les polaroids de ma mémoire. Une boîte pleine de photos de lui que j'ai engrangées en prévision des jours mauvais. En prévision des pénuries. Parce que manquer de visions de lui ce serait trop dur. Parce que parfois son odeur me revient. Son goût aussi. Je pourrais jamais vraiment solder ses intantanés.
Léon photographie des ciels. Beaucoup de ciels. C'est un métier comme un autre. Ses photos sont intelligentes, mais ça je l'ai déjà dit. Léon fait des ciels et c'est beau pour de vrai. A un moment je me suis emballée. vite vite vite. J'ai foncé sur mon mur à 300 à l'heure. A ce moment là je voulais qu'il m'emmène loin. Pas longtemps, je suis pas trop exigeante non plus. Mais qu'il m'emmène loin tout de même. A ce moment là, où mon délire était à son apogée, je me voyais
Non putain, je peux quand même pas écrire ça.
vendredi 8 février 2008
c'est pas de lui mais c'est tout comme
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