ça revient vite, hein, le manque, le désir qui monte dans l'absence et les messages impatients...
même quand il fait chaud et lourd, même quand on a plein de plans pour le week-end, dont une kermesse blogo-musicale, des potes à voir et des milliards de rencards.
(si j'osais je dirais qu'un seul chauve vous manque et tout est dégarni)
et sinon
ça va.
on me reparle de léon (un peu). on me montre des photos même (enculée). ça me parait loin (bien sûr). je passe toujours à place de clichy (tous les jours). j'ai pas de nouvelles (j'en veux pas). je me demande juste comment ça sera quand on se recroisera (ou pas).
en attendant (pas vraiment) j'avance. j'ai vu MGMT (on dira que c'est cool), je frôle la gloire (demain) et je compte les heures sans lui, parce que celles-là comptent, oui.
je n'aime plus me réveiller toute seule (non, je n'aime plus me réveiller sans lui)
nuance.
ça va.
on me reparle de léon (un peu). on me montre des photos même (enculée). ça me parait loin (bien sûr). je passe toujours à place de clichy (tous les jours). j'ai pas de nouvelles (j'en veux pas). je me demande juste comment ça sera quand on se recroisera (ou pas).
en attendant (pas vraiment) j'avance. j'ai vu MGMT (on dira que c'est cool), je frôle la gloire (demain) et je compte les heures sans lui, parce que celles-là comptent, oui.
je n'aime plus me réveiller toute seule (non, je n'aime plus me réveiller sans lui)
nuance.
1 commentaire:
Qu'il est doux de se laisser glisser parfois. :)
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