heureusement que ça n'arrive que tous les quatre ans des journées pourries comme ça..........
j'ai beau aimer le drame, là j'ai eu plus que ma dose. je ne manque plus de larmes.
.
des journées comme ça, dès le matin le sentiment un peu familier que ça va pas aller, que ça monte depuis quelques jours et que ça va pas aller pour de vrai cette fois.
.
des heures comme ça, à pas savoir que faire de soi. à trainer cette douleur aveugle aux autres
.
des minutes comme ça à faire du mal à ceux qu'on aime, à se regarder sombrer
.
des secondes qui fracassent tout, même pas au ralenti, comme ça, en temps réel
.
de la réalité, justement, trop, bien trop
.
.
.
.
et puis enfin s'oublier, se tenir la main avec elle, et à côté d'eux, bien sûr, sans eux quatre c'était pas possible
.
enfin enterrer la journée de trop, celle qu'on voulait pas parce que 365 jours à se battre c'est déjà assez
.
enfin rire
.
enfin être en mars
.
enfin
j'ai beau aimer le drame, là j'ai eu plus que ma dose. je ne manque plus de larmes.
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des journées comme ça, dès le matin le sentiment un peu familier que ça va pas aller, que ça monte depuis quelques jours et que ça va pas aller pour de vrai cette fois.
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des heures comme ça, à pas savoir que faire de soi. à trainer cette douleur aveugle aux autres
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des minutes comme ça à faire du mal à ceux qu'on aime, à se regarder sombrer
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des secondes qui fracassent tout, même pas au ralenti, comme ça, en temps réel
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de la réalité, justement, trop, bien trop
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et puis enfin s'oublier, se tenir la main avec elle, et à côté d'eux, bien sûr, sans eux quatre c'était pas possible
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enfin enterrer la journée de trop, celle qu'on voulait pas parce que 365 jours à se battre c'est déjà assez
.
enfin rire
.
enfin être en mars
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enfin
2 commentaires:
Je me répète, merci pour la main d'hier.
Parce que ni Elliott ni Kate ne me sont d'une grande aide aujourd'hui...
et fuck minouche ouais !
L'histoire commence jeudi vers 16h.
L'idée c'est de s'envoyer un petit kawa hors murs. Et v'la qu'la Nevi nous fait les yeux tout plein d'eau. Moi, ça me panique, alors je fais "et tes vacances c'était cool ?". Et la journée se finit.
L'histoire se poursuit vendredi vers 18h. Je passe par l'escalier et y'a Paulette qui fait des yeux tout plein d'eau idem. Moi, ça me panique, alors je fais "Hey Poulette ça va pas ?". Et puis je sais pas quoi dire. Alors je me sauve.
Je vous préviens toutes les deux, si lundi j'en vois une qui bronche, je vous chante "Heal the world" de jackson toute la journée.
Sinon je vous embrasse fort toutes les deux.
Et puis aussi j'ai été reçu a l'écrit... reste l'oral
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