Je croyais que j'arriverais à décider de m'arrêter si ça me faisait du mal.
Je croyais que je m'attachais pas vraiment.
Je croyais qu'il partirait vite et serait comme un amant très lointain, si lointain qu'il n'appartient à personne.
Je croyais qu'on avait rien à faire ensemble.
Je croyais qu'on se voyait pas assez souvent pour que ça compte
Je croyais qu'on vivait rien.
Je croyais que je m'en foutais.
Je croyais que je prenais ce qu'il y avait à prendre, et basta.
Je croyais que je l'enterrerais vite fait.
Je croyais que je passerais à autre chose.
Je croyais que je me souviendrais chaque seconde de lui.
Je croyais que je m'attachais pas vraiment.
Je croyais qu'il partirait vite et serait comme un amant très lointain, si lointain qu'il n'appartient à personne.
Je croyais qu'on avait rien à faire ensemble.
Je croyais qu'on se voyait pas assez souvent pour que ça compte
Je croyais qu'on vivait rien.
Je croyais que je m'en foutais.
Je croyais que je prenais ce qu'il y avait à prendre, et basta.
Je croyais que je l'enterrerais vite fait.
Je croyais que je passerais à autre chose.
Je croyais que je me souviendrais chaque seconde de lui.
2 commentaires:
Ce blog a été conçu par un esprit à peu près saint, est né de Paulette (virginité à part), dont le cœur a souffert sous Léon, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers... Nous sommes le troisième jour, il serait peut être temps que ton cœur ressuscite des morts.
ouhla je sens poindre une critique, pas très pascale il faut bien dire...
mon coeur ressucitera peut être un autre jour que le 3e, j'aime pas faire comme les barbus morts.
laisse moi le temps de faire ça à ma manière.
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