Fins de séries. C'est la période qui veut ça. J'ai envie de terminer cette histoire que je raconte par bribes, le récit anarchique que j'ai entamé, de ce que j'ai vécu et de ce que j'ai fantasmé. En fait non, pas terminer, mais résumer. Je veux résumer. Retrouver la concision. Est ce que je vais arrêter enfin de m'étendre?
un résumé donc.
un résumé de mon retour chez les vivants, parce qu'avant lui j'étais pas vraiment là. Et maintenant je suis bien de ce monde. Et la souffrance en fait partie et le chagrin aussi. Mais putain que c'est bon.
Un résumé de trois mois d'une année. Un quart d'un trentième de mon existence. Un quart d'un trentième plus important que les dix dernières, un fragment plus qu'important. Et il n'aura jamais idée de ce qu'il a réveillé là.
///Parce que oui je suis casse-couille maintenant. Je bois trop aussi maintenant. Je suis souvent back to black. Et impudique surtout. Exhib' des sentiments et aussi de mon cul qui ne devrait regarder que moi. Une putain de bourgeoise pleine d'états d'âme et de regrets. Oui mais comme ça je me plais plus qu'avant. (alors, merci?)///
En résumé donc je l'ai rencontré et j'ai eu très envie de lui. Et j'ai pas calculé je jure. J'ai juste vécu ce désir à fond. Je l'ai suivi partout, dans le bon, dans le crade, dans le bas, dans la jouissance. Dans tout ce qui m'a rendue esclave de lui, je l'ai suivi.
En résumé j'ai presque rien vécu avec lui. Mais j'ai vécu entre lui. Entre les nuits y'avait des jours et des nuits, et puis des rendez-vous auxquels même moi je ne croyais pas vraiment. Entre lui. Entre deux nuits où tu te dis à chaque minute profite bordel, inspire et respire, enfin, profite. Parce que tu le sens bien qu'il y aura une fin et qu'elle promet d'être bien dégueulasse.
En résumé donc, meet Léon, eat Léon, fuck Léon puis fuck off. Puis survis. Ecris comme tu craches, pour l'envoyer très loin. Pour le faire lire, pour qu'il ne t'appartienne plus.
Mais putain t'as rien compris.
T'as vraiment rien compris, il t'a jamais appartenu celui-là.
un résumé donc.
un résumé de mon retour chez les vivants, parce qu'avant lui j'étais pas vraiment là. Et maintenant je suis bien de ce monde. Et la souffrance en fait partie et le chagrin aussi. Mais putain que c'est bon.
Un résumé de trois mois d'une année. Un quart d'un trentième de mon existence. Un quart d'un trentième plus important que les dix dernières, un fragment plus qu'important. Et il n'aura jamais idée de ce qu'il a réveillé là.
///Parce que oui je suis casse-couille maintenant. Je bois trop aussi maintenant. Je suis souvent back to black. Et impudique surtout. Exhib' des sentiments et aussi de mon cul qui ne devrait regarder que moi. Une putain de bourgeoise pleine d'états d'âme et de regrets. Oui mais comme ça je me plais plus qu'avant. (alors, merci?)///
En résumé donc je l'ai rencontré et j'ai eu très envie de lui. Et j'ai pas calculé je jure. J'ai juste vécu ce désir à fond. Je l'ai suivi partout, dans le bon, dans le crade, dans le bas, dans la jouissance. Dans tout ce qui m'a rendue esclave de lui, je l'ai suivi.
En résumé j'ai presque rien vécu avec lui. Mais j'ai vécu entre lui. Entre les nuits y'avait des jours et des nuits, et puis des rendez-vous auxquels même moi je ne croyais pas vraiment. Entre lui. Entre deux nuits où tu te dis à chaque minute profite bordel, inspire et respire, enfin, profite. Parce que tu le sens bien qu'il y aura une fin et qu'elle promet d'être bien dégueulasse.
En résumé donc, meet Léon, eat Léon, fuck Léon puis fuck off. Puis survis. Ecris comme tu craches, pour l'envoyer très loin. Pour le faire lire, pour qu'il ne t'appartienne plus.
Mais putain t'as rien compris.
T'as vraiment rien compris, il t'a jamais appartenu celui-là.
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