Le lundi c'est rare d'avoir la win pour de vrai. Mais parfois ça arrive.
La win tardive de 19h30 mais la win tout de même.
La win donc, parce qu'il faut bien parfois que je gagne. Et parce qu'en y pensant je ne peux pas m'empêcher de sourire, même si je sais que c'est bien dérisoire. Ce lundi j'ai appris qu'il gardait mes messages (enfin pas tous, mais certains, les importants). Lundi j'ai eu des nouvelles de Léon, toujours par les mêmes chemins pas si détournés. Mes transmetteurs bienveillants m'ont raconté cette histoire, cette histoire de Léon se faisant clouer au pilori par sa régulière, parce qu'en fouillant ses affaires dimanche elle a découvert un message de moi. Celui où je lui disais aurevoir. J'y crois pas, j'en reviens pas d'apprendre qu'il a gardé mes mots, (pas si) bien cachés dans son ordinateur. Bon, pour lui, c'est carrément la lose de se faire avoiner pour ça. Mais putain, pour moi, c'est la win!
Mais bien sûr, la win du lundi ça ne dure pas. Et voilà mardi et voilà la lose du jour pour moi, comme le revers de la médaille, le retour de baton: il m'efface de sa vie virtuelle. Il essuie derrière moi, mes traces, nos liens, les preuves, à fond dans sa parano de trompeur en pleine rédemption. Il détruit mes restes et gomme mon passage. Et je peux que regarder, le regarder recouvrir du voile (forcément pudique) de l'hypocrisie les derniers vestiges de ma présence dans son lit durant ces trois mois.
Pourtant tout le monde sait maintenant, et tout le monde s'en fout. Bon ok, pas elle.
Passons. J'ai pas envie de parler d'elle.
Donc lui. Donc Léon. Léon m'efface. J'essaie de l'enterrer et il revient, là, il réapparait pour me rayer de sa vie, pour ne pas la heurter, pour la reconquérir, pour lui replaire.
Putain je le cognerai bien, là, maintenant. Je lui casserai bien la gueule.
La win tardive de 19h30 mais la win tout de même.
La win donc, parce qu'il faut bien parfois que je gagne. Et parce qu'en y pensant je ne peux pas m'empêcher de sourire, même si je sais que c'est bien dérisoire. Ce lundi j'ai appris qu'il gardait mes messages (enfin pas tous, mais certains, les importants). Lundi j'ai eu des nouvelles de Léon, toujours par les mêmes chemins pas si détournés. Mes transmetteurs bienveillants m'ont raconté cette histoire, cette histoire de Léon se faisant clouer au pilori par sa régulière, parce qu'en fouillant ses affaires dimanche elle a découvert un message de moi. Celui où je lui disais aurevoir. J'y crois pas, j'en reviens pas d'apprendre qu'il a gardé mes mots, (pas si) bien cachés dans son ordinateur. Bon, pour lui, c'est carrément la lose de se faire avoiner pour ça. Mais putain, pour moi, c'est la win!
Mais bien sûr, la win du lundi ça ne dure pas. Et voilà mardi et voilà la lose du jour pour moi, comme le revers de la médaille, le retour de baton: il m'efface de sa vie virtuelle. Il essuie derrière moi, mes traces, nos liens, les preuves, à fond dans sa parano de trompeur en pleine rédemption. Il détruit mes restes et gomme mon passage. Et je peux que regarder, le regarder recouvrir du voile (forcément pudique) de l'hypocrisie les derniers vestiges de ma présence dans son lit durant ces trois mois.
Pourtant tout le monde sait maintenant, et tout le monde s'en fout. Bon ok, pas elle.
Passons. J'ai pas envie de parler d'elle.
Donc lui. Donc Léon. Léon m'efface. J'essaie de l'enterrer et il revient, là, il réapparait pour me rayer de sa vie, pour ne pas la heurter, pour la reconquérir, pour lui replaire.
Putain je le cognerai bien, là, maintenant. Je lui casserai bien la gueule.
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