vendredi 27 février 2009

(by popular demand)

y'avait par la fenêtre un ciel gris et la tour montparnasse, une fraîcheur atmosphérique dans la chambre et un lit qu'il fallait faire descendre une ou deux bonnes minutes parce que je pouvais marcher mais pas encore sauter.

y'avait un calme assourdissant et l'odeur du repos, juste troublé par le ronron de la couveuse qui bippait parfois ses 35°.

y'avait toi, bien sûr, sans toi j'aurais eu peur du fracas de ce réveil et des cris qui étaient sortis de ma gorge.

et y'avait lui, celui qui ne s'appellera ni ringo ni zadig, le boulet de canon comme elles ont dit.

on a attendu le soir et dans le silence on a regardé passer ce vendredi qui ressemblait bien au premier du reste de ma vie.


(j'y peux rien c'est les hormones)

4 commentaires:

Unknown a dit…

avec tes conneries je vais finir par y croire à nouveau.

Anonyme a dit…

beau. beau. beau.
(et bienvenue à lui ^^ )

hannibal minouche a dit…

youhou !
congratulations

peekaboo a dit…

émotion
(les hormones aussi)
et félicitations !