dimanche 25 mai 2008

I've got to let you know you're one of my kind

il voulait que j'arrête de compter. que je cesse mes additions et mes négations. j'ai stoppé (je suis gentille parfois).

depuis, c'est lui qui n'arrête plus. il compte, me parle de chiffres, du nombre de fois où.

et puis, il me balance comme ça, un samedi soir à 23h et des bananes (j'ai dit que j'arrêtais de compter, ça vaut aussi pour les horaires), ça fait un mois. un mois depuis la première fois. on (enfin lui surtout) ne compte plus en jours, on ne compte plus en semaines. on compte sur après.

on fait des plans.

on parle de futur.

on joue à la roulette russe.

pourtant, on pourra pas dire que j'ai pas tout fait pour le dégouter, hein. parce que parler d'épisio, menacer d'un mariage forcé, faire une compét de bricolage, et regarder cars deux fois et demie dans la même journée, fallait s'accrocher quand même, pour durer jusqu'à l'apéro du soir (espoir).


(ps: cette note est dédicacée à émilie.)






3 commentaires:

Anonyme a dit…

L'image de la roulette russe est bien trouvée je crois.

hannibal minouche a dit…

Mais où as-tu trouvé l'inspiration pour le titre de ce billet ?

Ça veut dire quoi "burvina léon" ?

paulette a dit…

@louve, merci, je crois aussi ;)

@minouche, tu sais très bien.
(non j'explique pas)
(putain, t'as combien d'anniversaires dans l'année toi?)